Pour la 3e édition de notre conférence sur la rétrospective des Bad Buzz, en partenariat avec le blogueur et chercheur Nicolas Vanderbiest, nous avons publié une étude sur le phénomène des Bad Buzz qui touchent de plus en plus les marques.
Cette étude a donné lieu à un livre blanc, que vous pouvez télécharger gratuitement. Vous y trouverez tous les chiffres des crises de 2017 et les enseignements qu’il faut retenir afin d’être mieux préparer en 2018.
3 enseignements majeurs à retenir pour éviter les Bad Buzz en 2018
La société est plus en crise que les entreprises
La société traverse une phase de crise profonde. De plus en plus de badbuzz éclatent autour d’une grande valeur qui oppose deux camps. L’entreprise n’est pas au centre du débat, elle n’a été qu’un moyen, un “prétexte” pour faire éclater la crise.
La problématique transcende l’entreprise, elle la dépasse. Cette tendance nouvelle est à surveiller pour 2018.
Les badbuzz se mondialisent
Les pays sont de plus en plus connectés entre eux. Désormais, lorsqu’une entreprise produit une communication dans un pays le badbuzz peut exploser dans un autre.
Il faudra donc que les entreprises soient particulièrement vigilantes dans leurs choix et dans leur veille pas seulement à l’échelle locale mais bien à l’échelle internationale. Et que toutes les filiales communiquent bien entre elles.
Les réseaux sociaux dictent la loi de la crise
Le système est tellement bien huilé que les réseaux sociaux ont tendance à crier au badbuzz très rapidement. Et les entreprises à de suite faire machine arrière, même si elles ne sont pas en tort.
Pour 2018, il faudra donc que les organisations se forcent à reprendre du terrain et se rendent compte qu’elles détiennent encore le pouvoir de faire valoir leur point de vue.
Retrouvez l’autopsie des Bad Buzz en 2017 en une infographie !